Amélie
Raynaud-Idrac

Categorie

PHOTOGRAPHIE

Pays - Ville

FRANCE - TOULOUSE

À PROPOS DE L'ARTISTE

Ma passion pour l’art, peu importe sa forme, a commencé très tôt dans l’enfance. J’ai eu la chance d’aller régulièrement visiter des musées avec ma maman ce qui a certainement eu un impact sur ma sensibilité artistique.

 

J’ai toujours aimé explorer ma créativité à travers divers médiums mais c’est à l’adolescence que j’ai eu un coup de cœur pour la photographie.

 

Mes études en histoire de l’art ont forcément influencé ma production. Très inspirée par la peinture romantique mais également le symbolisme, l’art nouveau et l’art déco ; je réalise des portraits et des mises en scène en travaillant mes décors et les histoires que je souhaite raconter.

 

J’aime réaliser des images tantôt oniriques, tantôt sombres qui dépeignent toujours le côté absurde et paradoxal de l’humain / l’humanité et j’aime m’amuser à composer avec les codes de l’histoire de l’art.

 

Depuis plusieurs années, je travaille beaucoup en autoportrait et je tente d’incarner les milles et un personnages que j’ai en tête à travers mes images.

J’aime réaliser des images tantôt oniriques, tantôt sombres qui dépeignent toujours le côté absurde et paradoxal de l’humain.

Participer à l’exposition JAIMECASTEL est pour moi l’opportunité de rendre hommage à l’enfant que j’ai été.

 

Mon apprentissage du vélo s’est fait le long du canal, entre St-Jory et Montauban, je garde en moi une très forte nostalgie de cette période d’autant plus que j’utilise mon vélo pour mes déplacements quotidiens.

 

J’ai également vécu à Castelnau une partie de mon adolescence et je reste très attachée à cette ville, berceau de tout un tas de découvertes et expérimentations pour moi.

 

Il s’agit de la première exposition à ciel ouvert à laquelle je participe, j’ai toujours beaucoup apprécié les expositions car selon moi, elles permettent de faire vivre l’art au-delà de l’antre de son créateur. D’autant plus pour la photographie numérique, dont les créations ont tendance à dormir dans un disque dur.

 

Exposer ses photos, c’est les laisser vivre à travers le regard des autres et prendre aussi le risque de les laisser voir autre chose que ce qu’on a voulu raconter. C’est précisément ça qui m’intéresse en exposant mon travail : donner une autre dimension à mes photos et leur trouver de nouveaux axes de lecture et d’interprétation.

 

J’apprécie également le fait d’être exposée à côté d’œuvres issues d’autres pratiques artistiques, j’aime cette pluridisciplinarité qui permet de faire rencontrer plusieurs mondes.